Le grand débat – Les réseaux sociaux, interdits aux moins de 18 ans? (RTS)
Un débat audio sur la RTS
Presse & médias
Un débat audio sur la RTS
Le vent tourne. La Scandinavie, qui a souvent une longueur d’avance sur le reste de l’Europe dans l’usage des nouvelles technologies, donne un grand coup de frein. Après avoir beaucoup misé sur le numérique à l’école (la Suède en tête), les autorités de la région estiment désormais que cette voie n’est pas bonne pour les élèves.
une nouvelle enquête suggère que la déconnexion génère de nombreuses émotions positives chez les adolescents
La plus haute autorité judiciaire du pays a fait le choix de la souveraineté numérique pour son infrastructure informatique.
La « digitalisation » à l’aveugle des salles de classe est une hérésie absolue. Surtout que l’immense majorité des professeurs sont complètement incompétents en informatique et ne comprennent pas eux-mêmes ce qu’est un ordinateur.
Des études montrent que les parents, eux aussi, se doivent de faire de leur mieux pour être plus présents en famille que devant leur smartphone ou leur ordinateur.
Dans cet article, nous discutons en particulier et de façon critique du temps d’écran et des modèles de compréhension de l’usage problématique de celui-ci. Ces réflexions nous amènent à souligner l’importance d’adopter une compréhension contextualisée de cet usage à l’adolescence.
L’école doit jouer « un rôle-clé pour sortir les élèves des écrans qui les enferment », soutient le collectif Éducation numérique raisonnée, dans une tribune au « Monde ».
L’émission Egosystème du samedi 2 décembre sur la RTS invitait Michel Desmurget, neurophysiologiste et chercheur dans le domaine de la cognition.Ce scientifique bien connu, notamment par l’écho de son précédent livre, La fabrique du crétin digital, était interviewé à propos de son nouveau livre : Faites-les lire ! On passe ainsi du constat que les […]
Compte tenu des effets délétères des téléphones portables sur la santé des enfants largement documentés, Louis Forgeard, pédopsychiatre, Aurore Guyon, docteure en neurosciences, et Servane Mouton, neurologue, appellent, dans une tribune au « Monde », à en réduire l’accès.