Communiqué de presse du 21 mars 2022
Le Grand Conseil a soutenu notre pétition vendredi dernier, le 18 mars, à une large majorité de 60 voix contre 21 ! Et le RD 1407-A a été renvoyé au Conseil d’État.
Presse & médias
Le Grand Conseil a soutenu notre pétition vendredi dernier, le 18 mars, à une large majorité de 60 voix contre 21 ! Et le RD 1407-A a été renvoyé au Conseil d’État.
Echo Magazine nous propose un numéro intitulé : Éducation, la pression des écrans.
A l’initiative de Caroline Janvier, députée LRM, un collectif de parlementaires transpartisans et de personnalités, dont Gaspard Koenig, Nicolas Sirkis et Benoît Hamon, appelle à l’élaboration collective d’une proposition de loi visant à la prévention et la sensibilisation des parents.
L’association « Réfléchissons à l’usage du numérique et des écrans – RUNE-Genève », née le 5 juillet 2021, est constituée de professionnels (enseignants, logopédistes, ergothérapeutes, orthoptistes, médecins, ingénieurs, informaticiens…), dont certains sont des parents d’élèves. L’association RUNE-Genève se positionne comme une association qui base ses observations et ses interrogations sur des arguments provenant d’études scientifiques. Les informations communiquées sont également basées sur la pratique professionnelle de certains de ses membres ou des témoignages de parents d’élèves. La pluridisciplinarité des membres de RUNE-Genève permet de porter un regard croisé et non sectoriel sur la thématique complexe du numérique.
Le Grand Conseil a décidé de renvoyer au Conseil d’Etat la pétition des parents d’élèves demandant un moratoire sur le numérique à l’école primaire.
Le collectif Rune s’étonne que le numérique se développe déjà au primaire, par le biais de tableaux interactifs et d’exercices connectés.
Des enseignants, parents ou logopédistes craignent une surexposition des élèves aux écrans. Le DIP rassure. Lire en ligne
Émission sur le sujet du numérique à l’école Visiter la page de l’émission
Une pétition demandant de renoncer temporairement à l’usage du numérique au primaire a été acceptée à une écrasante majorité en commission des pétitions.